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La start-up liégeoise Tacite clôture une nouvelle levée de fonds

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Droits des créateurs, nouvelles technologies et réseaux sociaux sont au cœur de l’actualité. La jeune pousse Tacite a décidé de s’attaquer au problème et permet aux artistes interprètes de valoriser simplement leurs droits voisins pour les extraits de performances diffusés sur le web. Grâce aux fonds levés, auprès de Be-Angel et d’investisseurs privés, la start-up va pouvoir poursuivre le développement de sa plateforme et agrandir son équipe commerciale.

Tacite permet aux artistes d’améliorer leurs revenus lors des performances. Comment ? En couplant une cession de droits voisins avec le contrat « Tacite » aux contrats de travail des artistes. Ce qui permet de vendre une licence à un organisateur afin que lui et son public puissent capter des extraits du spectacle et les diffuser sur internet et les réseaux sociaux.

Avec les technologies et les smartphones, de plus en plus de performances d’artistes sont captées et diffusées sur la toile et les réseaux sociaux, que ce soit en provenance de l’organisateur ou du public. L’artiste n’est pas pour autant protégé automatiquement : « Le gros problème, c’est la précarité dans le secteur. Il est difficile pour les artistes de vivre de leur activité même s’ils sont reconnus. Ils sont très taxés sur leurs revenus, c’est pour cela qu’on a inclus la possibilité d’intégrer une cession de droits voisins pour qu’il puisse bénéficier d’un régime fiscal plus avantageux sur une partie du cachet» déclare Jonathan Schoonbroodt, Co-fondateur de Tacite.

Comment cela fonctionne ? Il suffit aux artistes-interprètes de déclarer leurs performances artistiques grâce à l’outil en ligne. Tacite s’occupe de la facturation, de la gestion des contrats de travail (sous-traité à un Bureau Social pour Artistes) , de la valorisation des droits voisins, des paiements, de récupération de créance, etc. Grâce au Contrat Tacite, les artistes peuvent valoriser leurs droits voisins et bénéficier du régime fiscal avantageux des droits d’auteur sur une partie de leur cachet. « On pourrait envisager une extension des services dans d’autres pays. Mais il faut s’adapter à la législation de chacun. Une fois nos objectifs initiaux atteints nous pourrons étendre nos services à d’autres professions : vidéaste, codeur, photographe etc. pour permettre de valoriser leurs droits d’auteur et ainsi bénéficier de ce même régime intéressant. ».

Les services de Tacite peuvent être utilisés pour les artistes solos, les groupes, les managers et les agents. L’entreprise bénéficie d’une belle progression et a très vite convaincu de nombreux artistes confirmés de notre pays.

Plus d’infos : www.tacite.be

© Brad

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Publication par communiqué de presse.
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